L’objectif de ces interventions était :

– d’expliquer le mode de fonctionnement de Google – et des moteurs en général –, de façon à comprendre les résultats que l’on a (ou pas) obtenus, leurs classements, d’être capable de déceler les limites et les incohérences des moteurs, etc. ;

– de présenter les multiples opérateurs que l’on peut utiliser avec Google, dès lors qu’une recherche « basique » – quelques mots-clés dans la zone de saisie, suivie de l’exploration des premières pages de réponses – ne donne pas les résultats attendus.
Par « opérateurs », nous entendons aussi bien les opérateurs comme intitle:, site:, filetype:; inurl:..., qui permettent de restreindre la requête à certains champs du document (titre des pages, URLs, nom de domaine…) que les fonctionnalités proposées dans la colonne d’outils, telles que la recherche par date ou la traduction des résultats…

– de démontrer qu’il est des cas où d’autres familles d’outils (annuaires généralistes, sélectifs, thématiques…) peuvent s’avérer bien plus efficaces que les moteurs de recherche.

On trouvera dans cet article le support de ces deux conférences. Ce support n’a en fait pas été utilisé, mais il a servi de fil conducteur aux deux interventions. Pour une meilleure interactivité, je lui préfère en effet le « direct live » avec des démonstrations sur les thématiques des participants, pour répondre à leurs questions, toujours nombreuses…

Le fil conducteur est d’ailleurs sensiblement le même que celui utilisé pour présenter les outils de recherche dans l’ouvrage « Recherche éveillée sur Internet : mode d’emploi« , publié en avril 2011 (la couverture de cet ouvrage est néanmoins bien plus vaste…).