Une rencontre fortuite – mais saisissante – avec l’ennéagramme

C’est en 2014 que j’ai entendu parler de l’ennéagramme pour la première fois, lors d’un déjeuner professionnel avec Asunción Valderrama, alors responsable d’un centre de documentation et bénévole active au sein de l’ADBS.

Asunción utilisait ce modèle d’analyse des personnalités au quotidien, tant dans sa vie personnelle que professionnelle, et ce qu’elle m’en a dit a suffisamment aiguisé ma curiosité pour qu’une fois chez moi, je recherche sur le Web quelques informations complémentaires.

En explorant le site de l’Institut français de l’ennéagramme, j’ai repéré notamment une série de courtes vidéos, dans lesquelles étaient présentés le modèle et les caractéristiques de chacun des neuf ennéatypes.

Et là, en découvrant l’un des descriptifs, j’ai eu le sentiment étrange qu’on parlait de moi, non de mon comportement mais de ce qui me tenait à cœur, comme si l’orateur me connaissait personnellement et avait su voir mes failles comme mes motivations profondes.

Je crois que c’est à ce moment précis que ma curiosité pour l’ennéagramme a commencé à se transformer en un intérêt, qui allait bientôt devenir une véritable passion.

Sidérée par la pertinence de ce descriptif, j’ai voulu en savoir plus et je me suis inscrite aux formations à l’ennéagramme qu’animaient Asunción, avant de me lancer dans le cycle de certification de maître praticienne auprès de l’Institut français de l’ennéagramme.

Convaincue par la puissance de ce modèle et aimant depuis toujours partager mes passions à travers des formations, il était prévisible que quelques années plus tard, je me laisse tenter et fasse équipe avec Asunción pour l’animation des formations…

De la formation à la rédaction…